Résumé :

« Plus de château. Car j’avais un domaine autrefois. Une place forte. Des bois et des champs. Des bêtes à cornes et des étangs. Des cèdres bleus. Tout cela dans le coeur. Le monde, intact, foisonnant. J’ai fait ce qu’on doit faire : je l’ai donné à quelqu’un. Il me semblait que c’est cela qu’on attendait de moi. C’était comme cela que je croyais qu’il fallait aimer, donner tout ce que l’on a, faire entrer quelqu’un avec les clefs, brûler les ponts-levis, dire : tout est à toi. »
De ce cocktail durassien en diable, Florence Delaporte fait jaillir une détresse qui sonne juste.