Adieu Volodia

Adieu Volodia

2,50

Simone Signoret

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UGS : BC-10-LIT-TEM-850 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Résumé:

Au 58, rue de la Mare, dans le XXe arrondissement de Paris, vivent les Guttman et les Roginski. Fuyant l’horreur des pogroms, les deux couples sont venus, l’un d’Ukraine en 1919, l’autre de Pologne en 1921 et ont eu chacun un enfant : Maurice et Elsa. Ils sont travailleurs, chaleureux. Ils veulent oublier, s’intégrer et leur naturalisation les fait pleurer de joie. La vie est belle ! Très vite, pourtant, la montée sournoise de l’antisémitisme fait planer une « drôle » de peur et crée des problèmes de travail : Les années passent cependant avec des joies et des peines, mais l’histoire est en marche vers le cauchemar.
Adieu Volodia. Une large fresque de la France de 1925 à 1945, avec ses faits divers, ses assassinats politiques, son Front populaire… Un merveilleux roman avec de nombreux personnages inoubliables, rempli d’anecdotes cocasses, d’humour, de peintures justes, d’émotions, de violences et de peurs, d’amour et de tendresse.

L’humour et le drame s’enchevêtrent, l’horrible et le cocasse se côtoient. Un charme extrême opère. Oui, un superbe roman.

 

détail:

  • Éditeur : France Loisirs (1 janvier 1985)
  • Langue : : Français
  • Relié : 566 pages
  • ISBN-10 : 292059611X
  • ISBN-13 : 978-2920596115
  • Poids de l’article : 540 g

L’auteur:

Nationalité : France
Né(e) à : Wiesbaden (Allemagne) , le 25/03/1921
Mort(e) à : Autheuil-Authouillet, Normandie , le 30/09/1985
Biographie :

Simone Signoret, de son vrai nom Simone Kaminker, est la fille aînée d’André Kaminker (1888-1961), un Juif polonais traducteur et de son épouse française, née Signoret.

Elle est arrivée dans le cinéma par l’entrée de service: pendant la guerre et, comme elle dit, “afin de ne pas crever de faim”. Elle était sténo-dactylo, donnait des leçons d’anglais. Elle imagina faire de la figuration, ce qui ne rapportait pas bien gros non plus. Mais, la chance aidant, cela permettait au moins de manger à sa faim.

Elle fut reconnaissante à Jean Boyer qui lui donna une petite chance dans Le Prince charmant, en 1942. Son premier vrai film, quatre ans après, fut Les Démons de l’aube. Réalisateur: Yves Allégret, son mari, père de sa fille Catherine.

A partir de là, tout allait de mieux en mieux. Elle eut progressivement des rôles convenant à son tempérament dramatique. En 1951 vient Casque d’Or, son film symbole, son film préféré aussi avec le rôle d’Alice dans Les Chemins de Haute Ville.

Le 4 avril 1960, elle obtient l’Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans le film Les Chemins de la haute ville de Jack Clayton.

Mais au delà de la Star, de la femme politiquement engagée, il y avait d’abord une amoureuse. Et sa carrière fut souvent influencée par ses hommes. Elle fut d’abord la femme d’Yves Allégret qui lui donna de très bons rôles durant la première phase de sa carrière.
Mais sa rencontre en 1949 avec Yves Montand, l’homme de sa vie, est décisive pour le reste de son existence. Tous deux entreprennent un “compagnonnage” auprès du parti communiste français, vis à vis duquel ils deviendront de plus en plus critiques à partir de 1956, moment où l’Urss intervient en Hongrie.

En 1976, elle publie son autobiographie : La nostalgie n’est plus ce qu’elle était.
Au début des années 1980 sa santé commence à se dégrader sévèrement. Simone Signoret perd peu à peu la vue et mène une existence de plus en plus retirée. C’est alors qu’elle se consacre de plus en plus à l’écriture et elle élaborera son unique roman, qui paraît en 1985 : “Adieu Volodia”.
Victime d’un cancer du pancréas, elle s’éteint peu de temps après dans sa propriété d’Autheuil.

Informations complémentaires

Poids 0,500 kg

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