La Reine Liberté, 1 : L’Empire des ténèbres

La Reine Liberté, 1 : L’Empire des ténèbres

2,00

Christian Jacq

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Description

Synopsis

L’Égypte n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une armée de barbares venus d’Asie a déferlé sur l’empire. On les appelle les Hyksos, les ” chefs des pays étrangers “. Ils ont réduit en esclavage la terre des pharaons.

Une seule cité n’a pas cédé, Thèbes, sur laquelle règne encore la veuve du dernier pharaon, Téti la Petite. Et Téti sait que les hommes ont renoncé devant la cruauté des Hyksos.

Mais Téti a une fille de dix-huit ans, Ahotep. Et, elle, n’a jamais accepté la défaite. Fière, belle, courageuse, elle décide de ranimer la flamme de la résistance égyptienne…

 

 

Détail

Auteur

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 28/04/1947
Biographie :

Christian Jacq est un écrivain français vivant en Suisse.

Marié à l’âge de 17 ans, son voyage de noces le conduit en Égypte, sur le site de l’antique Memphis. Son premier essai, naturellement consacré à l’Égypte, paraît dès la fin des années 1960, tandis qu’il se lance dans des études d’archéologie et d’égyptologie, qui seront couronnées par un doctorat de IIIe cycle en Sorbonne.

Christian Jacq exerce divers métiers avant de se lancer à temps plein dans l’écriture. Il sera un temps collaborateur de la radio France Culture, coproduisant par exemple certaines émissions de la série les Chemins de la connaissance.
Il est pendant quelques années, directeur de l’Institut Ramsès, qui publie des transcriptions de textes égyptiens et vise à l’édification d’un fonds photographique sur l’Égypte.

Parallèlement à sa carrière d’universitaire en archéologie et égyptologie, Christian Jacq publie des romans historiques, dont le cadre se situe dans l’Égypte antique, mais aussi des romans policiers, pour lesquels il fait usage de pseudonymes J. B. Livingstone, Christopher Carter et Célestin Valois.

Il utiliserait aussi pour des ouvrages ésotériques et sur la franc-maçonnerie les pseudonymes de Jean Delaporte, Jean Petrus, Pierre Dangle et Andrew Fabriel. Parallèlement aux romans, Christian Jacq publie des essais sur les symboles liés aux cathédrales, à la franc-maçonnerie, à la « sagesse égyptienne », ainsi que des guides de Louxor et Karnak.

Certaines de ses oeuvres ont créé la polémique parmi la communauté scientifique d’égyptologie pour ses procédés de vulgarisation historique et son recours à l’ésotérisme.

Habitant dans la région d’Aix-en-Provence dans les années 1990, il déménage en 1997 pour Lausanne.

site officiel : http://christianjacq.fr/

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 0,600 kg

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