Les bestiaires

Les bestiaires

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Henry de Montherlant

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Description

Le livre

Dès sa première adolescence, Montherlant s’est enthousiasmé pour les courses de taureaux , découvertes au cours de vacances en Espagne. Il a lui-même pratiqué l’art tauromachique et a reçu en 1925 un assez grave coup de corne. Les Bestiaires – où l’on retrouve le héros du Songe, Alban de Bricoule, rajeuni de quelques années – est l’oeuvre que l’écrivain a tirée de son expérience des taureaux et de sa connaissance de l’Espagne. Dans les corridas, Montherlant ne voit pas seulement une épreuve tragique où l’homme affronte la mort, mais une cérémonie religieuse, un sacrifice sanglant hérité de l’ancienne religion de Mithra

Détails sur le produit

  • Éditeur : Le livre de poche (1963)
  • Poids de l’article : 200 gr

L’auteur

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 20/04/1895
Mort(e) à : Paris , le 21/09/1972
Biographie :

Henry Marie Joseph Frédéric Expedite Millon de Montherlant est un romancier, essayiste, auteur dramatique et académicien français.

Henry de Montherlant est d’une famille, du côté paternel, originaire de la Catalogne. Il fait ses études au lycée Janson de Sailly et à l’école Sainte-Croix de Neuilly. Pendant les vacances il s’initie à la tauromachie, et tue des taurillons. C’est à cette occasion que son nom apparaît pour la première fois dans un journal. “Le Toréro” de Nimes, du 8 octobre 1911, donne le compte-rendu de deux mises à mort qu’il exécute à Burgos. Il a alors quinze ans.

Il se destine très tôt à la littérature. Dans son enfance, sa mère lui lit “Quo vadis” de Henryk Sienkiewicz, et cette lecture lui fournit les thèmes qu’il abordera sa vie durant : l’amitié, le suicide et la Rome antique.

Pendant la guerre, classé service auxiliaire et affecté comme secrétaire à un état-major de l’intérieur, il fait une demande pour être versé dans un régiment d’infanterie du 20° corps, dans un poste du service armé. Muté au 360° régiment d’infanterie, il est grièvement blessé, en 1918.

De 1920 à 1924, il est secrétaire général de l’Oeuvre de l’Ossuaire de Douaumont, présidée par le maréchal Pétain. Rétabli, il s’adonne aux sports athlétiques. En 1925, en toréant à Albacete (Espagne), il est blessé par coup de corne. De 1925 à 1935, il fait des séjours en Espagne, Italie, Afrique du Nord et Sahara.

En 1940, réformé pour blessure de guerre, Montherlant assiste, comme correspondant de guerre, aux combats de la Somme et de l’Oise. Il y est légèrement blessé.

En 1960, Montherlant est élu à l’Académie française sans en avoir fait expressément la demande. Douze ans plus tard, devenu aveugle, il se suicide.

Parmi ses œuvres, on peut citer : “Les Bestiaires” (1926), “La Reine Morte” (1942), “Le Maître De Santiago” (1947), “Les Célibataires” (1934), “Les Jeunes Filles” (1936-39) ou encore “La Rose de sable” (1968).

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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