Les compagnons de Jehu

Les compagnons de Jehu

3,00

Alexandre Dumas

 

1 en stock

UGS : P2421125 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Résumé:

C’est de son fils que Dumas affirme tenir l’idée de deux des protagonistes de ce roman : – Oui, je vais te donner deux personnages… un gentleman anglais et un capitaine français. […]
Mon capitaine français est un personnage mystérieux, qui veut se faire tuer à toute force et qui ne peut pas en venir à bout ; de sorte que, chaque fois qu’il veut se faire tuer, comme il accomplit une action d’éclat, il monte d’un grade.
– Mais pourquoi veut-il se faire tuer ? – Parce qu’il est dégoûté de la vie. – Et pourquoi est-il dégoûté de la vie ? – Ah ! voilà le secret du livre…
De cette suggestion, et de quelques pages des Souvenirs de la Révolution de son ami Nodier, naissent Les compagnons de Jéhu. 1799 : le Directoire va s’écrouler sous le coup d’Etat de Bonaparte revenu d’Egypte : Roland, aide de camp du jeune général, se charge de mettre fin aux exactions des compagnons de Jéhu, société secrète de royalistes qui, comme des bandits de grands chemins, attaquent les transports de fonds de la République pour financer l’insurrection en Bretagne et en Vendée.
De Bourg-en-Bresse à la Bretagne, de Paris aux rives du Nil et à Marengo, du 18 brumaire au passage du Grand Saint-Bernard, des intrigues politiques aux amours à la Roméo et Juliette, les aventures s’enchaînent, mêlant héros de fiction et personnages historiques, dans une course-poursuite menée à brides abattue où l’héroïsme le dispute à l’honneur.
Si Dumas a un peu violé l’Histoire dans ce roman flamboyant, quel bel enfant il lui a fait !

Caractéristique:

  • Editeur : Marabout Géant
  • Parution : 01/01/1955
  • Format : Moyen, de 350g à 1kg
  • Nombre de pages : 532

Auteurs·trice·s:

Nationalité : France
Né(e) à : Villers-Cotterêts , le 24/07/1802
Mort(e) à : Dieppe, Seine-Maritime , le 05/12/1870
Biographie :

Écrivain français. Son père, général d’armée, meurt l’année de ses trois ans. Sa grand-mère étant noire, il est quarteron et doit souvent affronter des sarcasmes racistes. A neuf ans, il entre, pour deux ans, au collège de l’abbé Grégoire, à Villers-Cotterêts. Il y reçoit les bases de l’instruction primaire. Pourtant à treize ans, il ne sait presque rien, il a pour seule éducation ses lectures principalement religieuses. Cependant, grâce à sa calligraphie exceptionnelle, il est engagé comme coursier dans une étude de notaire.

Alexandre y fait la connaissance d’Adolphe de Leuven qui l’initie à la poésie moderne, ils écrivent ensemble des vaudevilles.

En 1822, il devient à Paris clerc de notaire. En 1823, le duc d’Orléans le prend comme secrétaire. En 1824, il commence à connaître le succès avec l’un de ses vaudevilles : “La Chasse et l’amour”. Cette même année son fils Alexandre, qui deviendra aussi écrivain, naît de sa liaison avec une couturière, Catherine Labay. Dumas ne le reconnaîtra qu’en 1831, à la naissance de sa fille Marie-Alexandrine.

C’est un romancier prolifique, qui publie “Les Trois Mousquetaires” (1844), et ses suites, “Vingt ans après” (1845) et “Le Vicomte de Bragelonne” (1847), ou encore “Le Comte de Monte-Cristo” (1844 -1846), et “La Reine Margot” (1845), avec l’aide notoire de « nègres » et en particulier d’Auguste Maquet qui a participé à la plupart de ses réalisations. il connaît également le succès avec ses drames romantiques, tels que “Antony” et “La Tour de Nesle”.

En 1844, il fait bâtir à Port-Marly, le château de Monte-Cristo. En 1846, il se fait bâtir son propre théâtre : le Théâtre-historique. Mais en 1848, il est candidat malheureux aux élections législatives qui suivent la révolution et son théâtre fait faillite, poursuivi par plus de 150 créanciers, il doit s’exiler en Belgique.

En 1853, de retour à Paris, il lance un quotidien artistique, Le Mousquetaire, qui sera suivi du Monte-Cristo, en 1857, un hebdomadaire. Puis il se passionne pour Garibaldi et rejoint l’expédition des Mille à Palerme. Il sera nommé Directeur des Musées à Naples, où il fonde un journal, L’indipendente, destiné à lutter contre la contre-révolution et la camorra.

En septembre 1870, après un accident vasculaire qui le laisse à demi paralysé, Dumas s’installe dans la villa de son fils à Puys, quartier balnéaire de Dieppe.

Informations complémentaires

Poids 0,300 kg

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *