Adrienne Lecouvreur, ou, Le coeur transporté

Adrienne Lecouvreur, ou, Le coeur transporté

2,00

Catherine Clément

 

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Description

Synopsis

Au XVIIIe siècle, Adrienne Lecouvreur est une grande figure de la Comédie-Française.
Une mort tragique et mystérieuse, un enterrement à la sauvette ont alimenté sa légende davantage que ses amours avec le maréchal de Saxe et son amitié avec Voltaire.
Révélée au théâtre à treize ans, elle connaît rapidement la notoriété, interprète tous les grands rôles. Sur scène, elle est brillante, passionnée, violente ; dans l’intimité, elle est timorée, maladroite.
Le maréchal de Saxe, son grand amour, est volage, elle est fidèle. Lorsqu’il s’éprend de la duchesse de Bouillon, Adrienne a trente-sept ans, et son intuition ne la trompera pas : cette jeune femme va causer sa perte… et déclencher le mythe.
Catherine Clément charge George Sand de raconter l’histoire de celle qui aurait pu être son aïeule, puisque le maréchal de Saxe était son arrière-grand-père.

 

Détail

  • Poids de l’article : 140 g
  • Dimensions : 18 x 10.8 x 2.7 cm

L’auteur, l’autrice

Nationalité : France
Né(e) à : Boulogne-Billancourt , le 10/02/1939
Biographie :

Catherine Clément est une philosophe et femme de lettres française.

Née dans une famille mi-catholique, mi-juive, Catherine Clément passe une grande partie de son enfance sur les bords de la Loire avec sa grand-mère chrétienne, ce qu’elle raconte dans Maison mère (éditions Nil, 2006). La guerre l’a privée de ses grands-parents juifs, dénoncés, déportés et morts à Auschwitz en mai 1944.
Elle intègre l’École normale supérieure de jeunes filles (ENSJF) en 1959, école dite de Sèvres, mais installée boulevard Jourdan à Paris. Agrégée de philosophie à l’âge de 22 ans, la sévrienne devient ensuite l’assistante de Vladimir Jankélévitch à la Sorbonne à 24 ans : au grade d’assistante, qui n’existe plus, les jeunes enseignants dirigeaient les travaux pratiques.
Sa rencontre avec Claude Lévi-Strauss, qui l’invite à décrypter un mythe africain devant son séminaire en 1962, l’influence de manière décisive. A partir de 1959, elle suit le séminaire de Jacques Lacan, d’abord à l’hôpital Sainte-Anne, puis à l’École Normale Supérieure et à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et ce jusqu’à la fin. Membre de l’École freudienne à titre “profane”, elle n’a jamais été psychanalyste.
Détachée au CNRS, elle prépare une thèse sur Le Paradis perdu, qu’elle termine, mais que l’état de santé de Vladimir Jankélévitch, à la fin de sa vie, ne lui permet pas de soutenir. Parallèlement, elle participe entre autres à des documentaires de télévision à l’ORTF, aux côtés de Josée Dayan et Charles Brabant. En 1976, après 12 ans d’enseignement supérieur, elle demande un congé, horrifiée des conditions de travail dans les amphithéâtres. Fin 1976, elle entre au quotidien Le Matin de Paris comme chef de rubrique culture.
En 1982, elle est nommée au ministère des Relations extérieures, à la tête de l’AFAA, chargée de la diffusion et de l’accueil de la culture française à l’étranger. Elle séjourne cinq années en Inde aux côtés de l’ambassadeur André Lewin, puis cinq ans en Autriche, et enfin trois ans au puis cinq ans en Autriche, et enfin trois ans au Sénégal (1996-1999).
A l’époque, quand elle part en Inde, elle a déjà publié cinq romans et huit essais. L’Inde lui inspire ses plus grands succès, Pour l’amour de l’Inde (Flammarion, 1993) et Le Voyage de Théo (Seuil, 1998), et ce pays ne cesse d’inspirer son travail.

 

 

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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