Je l’aimais

Je l’aimais

2,00

Anna Gavalda

 

 

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Description

Le livre

À soixante-cinq ans, il est à l’âge des bilans. Elle en a moitié moins et rumine son chagrin. Celui d’avoir été plantée là avec ses deux filles par un mari volage parti pour une “femme moins usée.”
A priori, Pierre et Chloé n’ont pas grand chose à partager. Il en décide pourtant autrement, emmenant sa belle-fille sur un coup de tête pour quelques jours à la campagne. Au fil d’un long dialogue, ils vont peu à peu se livrer.
Tombe alors le masque du “vieux con” autoritaire et hautain attribué un peu hâtivement par Chloé à son beau-père. L’homme renfermé aux jugements définitifs révèle une blessure et une sensibilité à fleur de peau, tandis que la jeune femme pleine de vie reprend le dessus sur l’épouse éplorée.
“On biaise, on s’arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s’y attache. C’est la vie. Il y a les courageux et puis ceux qui s’accommodent. C’est tellement moins fatigant de s’accommoder…”
A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l’on se rend compte – un peu tard – que l’on s’est peut-être trompé? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d’Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. A sa manière: plutôt que d’accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n’en a pas été capable. Tout au long d’une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.

Détails sur le produit

 

L’auteur

Anna Gavalda est née le 9 décembre 1970 à Boulogne-Billancourt. Elle a grandi en Eure-et-Loir et y a passé une enfance bucolique avec ses trois frères et soeurs qui restent ses meilleurs amis. Après avoir suivi une hypokhâgne et obtenu une maîtrise de Lettres à la Sorbonne, elle subsiste grâce à de petits boulots. Ayant toujours aimé écrire, elle souhaite devenir journaliste. Chroniqueuse pour le cahier Paris-Ile-de-France duJournal du Dimanche, elle enseigne parallèlement le français dans une école privée et traduit des romans anglo-saxons. En 1992, elle devient lauréate France inter pourla plus belle lettre d’amour, ainsi commence l’aventure.

 

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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