Je rêve d’être un grand chef !

Je rêve d’être un grand chef !

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Collectif de chefs

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Description

Synopsis

Dix-neuf chefs français se sont donné rendez-vous pour fêter l’anniversaire de l’association Arc-En-Ciel qui réalise, depuis vingt ans, les rêves d’enfants malades. Entre découvertes et plaisirs gourmands, suivez les traces de ces grands cuisiniers et partagez, au fil des pages, leur passion et leurs petites confidences.

Découvrez ensuite les cuisines de l’Ecole Ritz Escoffier pour suivre Emma, Erwann, Lucie et Yohann, quatre chefs en herbe, qui ont réalisé leur rêve : suivre un cours de pâtisserie avec Didier Steudler !

Détails sur le produit

  • Éditeur : De la Martinière jeunesse (20 octobre 2011)
  • Langue : Français
  • Relié : 72 pages
  • ISBN-10 : 2732448273
  • ISBN-13 : 978-2732448275
  • Âge de lecture : 9 – 12 années
  • Poids de l’article : 721 g
  • Dimensions : 26.7 x 1.3 x 29.1 cm

L’Auteur, L’autrice

APRÈS DES ANNÉES PASSÉES COMME CHEF PÂTISSIER CHEZ FAUCHON, CHRISTOPHE ADAM VOLE AUJOURD’HUI DE SES PROPRES AILES POUR RAVIR LES PARISIENS PRESSÉS DE SES DOUCEURS SUCRÉES ET SALÉES.

Revenir Chef était un rêve d’enfance ?

Petit, je rêvais d’avoir une belle maison ! Devenir Chef s’est dessiné plus tard, avec ma découverte du métier, et c’est devenu un rêve quand je suis arrivé au Crillon, à Paris. J’avais 20 ans, et ce rêve a grandi au fil des quinze premières années que j’ai passées dans le monde de la pâtisserie.

Rien ne vous portait vers la pâtisserie ?

J’aimais la cuisine, mais j’aurais pu choisir n’importe quelle orientation. Je dessinais et j’étais plutôt habile de mes mains. La pâtisserie était un bon compromis entre création, finesse, réflexion et travail manuel. Je me suis très vite senti à l’aise.

Comment votre rêve de devenir Chef s’est-il construit ?

Après deux ans d’apprentissage à Quimper, je suis allé chez les Frères Roux, premier Trois Macarons à Londres. J’avais 18 ans, je sentais qu’il se passait quelque chose. J’avais envie de travailler, j’étais encouragé et je ne comptais pas mes heures. Je voulais vraiment faire des belles choses, être au top. Les horaires, la pression, celle au moment des Fêtes – très importantes en pâtisserie – ne me semblaient pas des obstacles, mais des défis à relever. Je voulais être le meilleur, faire mieux, plus vite, plus beau. Être Chef est devenu un objectif, une ambition et un moteur. J’étais très déterminé.

Et puis vous êtes arrivé chez Fauchon…

Oui, en 1996 et, cinq ans plus tard, j’étais nommé Chef pâtissier. Cinq ans, c’est à la fois long et très court ! J’ai été patient alors que mon caractère me porte plutôt à l’action, au prochain gâteau ou au projet suivant. J’ai besoin de me projeter vers l’avenir, de créer pour avancer. Chez Fauchon, j’ai pu faire ce que je sentais et j’ai eu la chance d’être reconnu. Aujourd’hui, j’ai plus de maturité, de confiance. J’ai envie de développer mon affaire. Je veux garder la même exigence de qualité, l’offrir de façon simple, en boutique, et m’ouvrir sur l’univers salé. Mon ambition est de faire goûter autrement tout ce que j’ai appris en vingt ans, de la crème caramel au sandwich du déjeuner…

 

Informations complémentaires

Poids 0,800 kg

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