Jésus, le fils du charpentier

Jésus, le fils du charpentier

3,00

Bernard Clavel

 

 

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UGS : RSBAC10T23035041 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Synopsis

“Je ne suis ni spécialiste des textes sacrés ni historien de l’Antiquité. Que l’on n’attende pas de ce livres des révélations… J’ai simplement voul raconter l’histoire de J2sus telle qu’elle est entrée en moi au cous de mon enfance, avec une pauvre crèche dont, chaque hiver, ma mère tentait de recoller les personnages. Avec quelques images comme Le Massacre des innocents peint par Bruegel. Avec des mots et des musiques d’une grande naïveté mais, aussi, d’une indinie beauté et chargés d’une émotion inoubliable.
Ce qui m’a conduit à raconter cette histoire, c’est l’Enfant Jésus et ceux qui l’aimaient. Tant de tendresse et tant d’amour pour aboutir à tant de violence et de cruauté.”

Pour illustrer ce récit, Bernard Clavel a choisi des oeuvres de gands peintres, comme Georges de La Tour, Mantegna, Bruegel l’Ancien, Rembrandt, Titien, Rubens…

 

Détail

  • Éditeur ‏ : ‎ France loisirs (1 janvier 1997)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 227 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 274410972X
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2744109720
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 380 g

Auteur

Bernard Clavel est né le 29 mai 1923 à Lons-le-Saunier, au fond d’un grand jardin où peinaient son père ancien boulanger et sa mère fleuriste. Enfant rêveur et peu studieux, il quitte l’école à quatorze ans pour entrer en apprentissage chez un pâtissier de Dole. Les deux années qu’il passera sous la coupe d’un patron injuste et brutal le marqueront profondément, faisant de lui un éternel révolté.

Du fournil à l’usine de lunettes, du vignoble à la forêt, de la baraque de lutte à l’atelier de reliure, de la sécurité sociale à la presse écrite et parlée, il connaîtra bien des métiers qui constituent “ses universités”, un peu comme London, qui l’a tant fait rêver, ou Gorki à qui André Maurois devait le comparer dès ses premiers livres. Sans aide, sans conseiller, sans véritable maître, dès l’adolescence, il peint et écrit, songeant en secret au jour où il pourra se consacr er totalement à l’art.

Personne ne prend au sérieux cet autodidacte qui se croit artiste. Il détruit plusieurs romans et de nombreux poèmes et nouvelles avant que René Julliard ne se décide à publier L’Ouvrier de la nuit, en 1956. Cette publication lui permettra de rencontrer Jacques Peuchmaurd qui deviendra, au plein sens du terme, son directeur littéraire. Encouragé dès lors par Reverzy, Lanoux, Bachelard, Gabriel Marcel, Hervé Bazin, Marcel Aymé et quelques autres écrivains, il poursuit une oeuvre qui s’impose peu à peu. En quarante ans, il publie près de quatre-vingt-dix livres qui seront traduits dans une vingtaine de pays. Certains de ses romans connaissent des tirages qui atteignent plusieurs millions d’exemplaires pour la seu le langue française.

Informations complémentaires

Poids 1 kg

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