La Pierre de lumière,3 : Paneb l’ardent

La Pierre de lumière,3 : Paneb l’ardent

2,00

Christian Jacq

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Description

Synopsis

Troisième (et avant-dernier) épisode de la saga de Christian Jacq “La Pierre de Lumière,” ce livre emmène une fois de plus le lecteur dans les intrigues ésotérico-policières de l’Égypte antique et dans la vie de La Place de Vérité, le village où vivent les artisans chargés de la construction des tombes des pharaons. Un traître se cache dans la communauté et veut à tout prix voler la Pierre de lumière. Un grand danger plane donc sur le village, et sur l’Égypte toute entière car seule la Place de Vérité peut garantir l’éternité de l’Égypte.
Faisant évoluer des personnages originaux (Néfer le Silencieux, Claire la “femme sage” et Paneb l’artiste géniale) dans une intrigue bien ficelée, on sent tout au long de ce récit que Christian Jacq prend du plaisir à nous plonger dans cette fiction. Car c’est bien d’une fiction dont il s’agit et ce livre est à prendre comme tel. Les références historiques ne sont là que pour donner une base à l’histoire. C’est d’une Égypte sans doute un peu idéalisée dont il s’agit, tout droit sortie de la tête de son auteur.
Et si certains reprochent à Christian Jacq d’adopter toujours les mêmes schémas d’écriture pour élaborer ces romans, c’est quand même avec plaisir que l’on retrouve “Paneb l’ardent.” Un livre qui ne décevra pas les millions de lecteurs des précédents titres “Néfer le silencieux” et “La Femme sage.”

Détail

EAN : 9782845630031
480 pages
Xo Editions (04/09/2000)

Auteur

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 28/04/1947
Biographie :

Christian Jacq est un écrivain français vivant en Suisse.

Marié à l’âge de 17 ans, son voyage de noces le conduit en Égypte, sur le site de l’antique Memphis. Son premier essai, naturellement consacré à l’Égypte, paraît dès la fin des années 1960, tandis qu’il se lance dans des études d’archéologie et d’égyptologie, qui seront couronnées par un doctorat de IIIe cycle en Sorbonne.

Christian Jacq exerce divers métiers avant de se lancer à temps plein dans l’écriture. Il sera un temps collaborateur de la radio France Culture, coproduisant par exemple certaines émissions de la série les Chemins de la connaissance.
Il est pendant quelques années, directeur de l’Institut Ramsès, qui publie des transcriptions de textes égyptiens et vise à l’édification d’un fonds photographique sur l’Égypte.

Parallèlement à sa carrière d’universitaire en archéologie et égyptologie, Christian Jacq publie des romans historiques, dont le cadre se situe dans l’Égypte antique, mais aussi des romans policiers, pour lesquels il fait usage de pseudonymes J. B. Livingstone, Christopher Carter et Célestin Valois.

Il utiliserait aussi pour des ouvrages ésotériques et sur la franc-maçonnerie les pseudonymes de Jean Delaporte, Jean Petrus, Pierre Dangle et Andrew Fabriel. Parallèlement aux romans, Christian Jacq publie des essais sur les symboles liés aux cathédrales, à la franc-maçonnerie, à la « sagesse égyptienne », ainsi que des guides de Louxor et Karnak.

Certaines de ses oeuvres ont créé la polémique parmi la communauté scientifique d’égyptologie pour ses procédés de vulgarisation historique et son recours à l’ésotérisme.

Habitant dans la région d’Aix-en-Provence dans les années 1990, il déménage en 1997 pour Lausanne.

site officiel : http://christianjacq.fr/

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 0,600 kg

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