Les chemins de Katmandou

Les chemins de Katmandou

2,00

René Barjavel

 

 

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Description

Synopsis

De tous les coins de la terre, des garçons et des filles se mettent en marche vers Katmandou, la ville qui dresse ses deux mille temples au pied de l’Himalaya, à la frontière du Tibet. Que vont-ils y chercher ? L’illusion d’un Dieu plus proche ? La liberté de vivre comme ils veulent et de fumer ” l’herbe ” sans crainte de la police ? Pour la plupart d’entre eux c’est un voyage vers leur propre destruction… Jane et Olivier ont pris chacun un des ” chemins ” de Katmandou, peut-être parce qu’ils avaient été blessés dans leurs rapports avec leurs parents. Ces chemins commencent parmi nous et sans que vous vous en doutiez, l’un d’eux commence peut-être chez vous ! …

 

Détail

  • Poids de l’article : 140 g
  • Dimensions : 18 x 10.8 x 2.7 cm

L’auteur, l’autrice

Nationalité : France
Né(e) à : Nyons, Drôme , le 24/01/1911
Mort(e) à : Paris , le 24/11/1985
Biographie :

René Barjavel est un écrivain et journaliste français, principalement connu pour ses romans d’anticipation.

Fils du boulanger Aimé Henri Barjavel, petit fils de paysans, il perd sa mère, Marie Lydie Paget, veuve d’Émile Achard, en 1922, qui souffrait de la maladie du sommeil depuis 1919. Il fait ses études au collège de Nyons en 1922 puis à celui de Cusset dans l’Allier en tant que pensionnaire.

Il obtient son baccalauréat en 1929, mais ne peut poursuivre ses études faute de moyens. Il fait de nombreux métiers pour gagner sa vie: en moins d’un an il est tout à tour répétiteur, employé de banque, démarcheur, puis journaliste au Progrès de l’Allier où il restera cinq ans. Il publie le texte d’une de ses conférences “Colette à la recherche de l’amour”. En 1935, il rencontre l’éditeur Robert Denoël, qui lui propose de travailler pour lui, à Paris.

Ses quatre premiers ouvrages, “Ravage” (1943), “Le Voyage imprudent” (1944), “Tarandol” (1946) et “Le Diable l’emporte” (1948) ne connaissent pas un grand succès. Il sera dénoncé comme collaborateur par le Comité national des écrivains en 1944 pour les avoir publiés dans le journal antisémite “Je suis partout”. C’est en romançant un scénario de SF qui ne sera jamais tourné, “La Nuit des temps” (Prix des Libraires en 1968), qu’il renoue avec la littérature.

Il a aussi abordé dans de remarquables essais l’interrogation empirique et poétique sur l’existence de Dieu (notamment dans “La Faim du tigre”), et le sens de l’action de l’homme sur la Nature.
Il fut aussi scénariste et dialoguiste de films. On lui doit en particulier “Don Camillo”.
Il écrit également des chansons. Il se livre, quand il en a le temps, à une passion, la photographie en couleurs.

René Barjavel meurt des suites d’une crise cardiaque à l’âge de 74 ans.

 

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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