Les Mutinés de l’Elseneur

Les Mutinés de l’Elseneur

2,00

Jack London

 

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Description

Synopsis

Jean-François Deniau, préfacier de la présente réédition des Mutinées de l’ « Elseneur » (1914), n’y va pas par quatre chemins : « Attention ! vous avez sous les yeux et entre les mains peut-être le plus fort des romans de Jack London, certains pensent le plus noir. »

Écrit au sortir d’une grave dépression éthylique, le livre pose avec une violence inouïe la question qui tourmente alors l’écrivain : celle de la force brute et du mal, toujours à l’œuvre dans la société des hommes – régie comme la nature par la loi du plus fort.

Un romancier blasé et déprimé, soucieux de se refaire une santé au bon air du large, s’embarque à Baltimore à bord d’un des derniers grands voiliers de commerce qui rallient encore la Californie en faisant le « grand tour » par le Cap Horn.

Le capitaine a convié sa fille à être de la croisière – avec son piano ! L’écrivain-voyageur, lui, s’est contenté d’emmener avec lui sa carabine préférée, avec dix mille cartouches… histoire de distraire son ennui en tirant les oiseaux de mer. Il ne tirera pas que les oiseaux…

Le Produit

  • Publié par le livre de poche. 1977.

L’auteur, l’autrice

Jack London est né en 1876 à San Francisco. Il passe son enfance dans le ranch de son beau-père : une enfance dure, presque misérable. Poussé par son tempérament aventureux, il quitte très jeune la maison pour s’embarquer comme mousse ; il a 15 ans à peine. Par la suite, il exerce toutes sortes de métiers, de pêcheur d’huîtres à garde-côte. De son voyage en Alaska parmi les chercheurs d’or, Jack London rapporte “L’Appel du monde sauvage” [L’Appel de la forêt], où l’on respire le souffle de la grande aventure, l’odeur de l’or mêlée à celle de la misère. Mais il s’installe alors à Oakland, en Californie, et décide de se consacrer à la littérature. Malgré le succès de ses nouvelles, il déclarera toutefois qu’il déteste écrire et ne le fait que pour gagner sa vie. L’attrait des terres inconnues sera le plus fort : il se fait engager comme reporter lors de la guerre sino-japonaise. À son retour, il réalise le rêve de sa vie : se faire construire un bateau, le ” Snark “, à bord duquel il entreprend un tour du monde : mais il n’ira pas plus loin que l’Australie. Jack London s’est donné la mort en 1916.

 

 

 

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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