Paras du matin rouge

Paras du matin rouge

1,50

Jean Mabire

 

 

 

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UGS : LIT-1175 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Le livre

“Une grande guerre, une guerre moderne, n’est plus possible que sous la forme d’une guerre. ” Adolf Hitler. Le mettre du Ille Reich trouva l’homme dont il avait besoin en la personne du général Kurt Student (1890-1978), ancien pilote de chasse en 14-18 et fanatique du vol à voile. Cet officier forma, dans une semi-clandestinité, deux bataillons de parachutistes dont le premier venait de la formation d’élite “Général Göring”. Tous volontaires, ces hommes regroupaient dom leurs rangs des Idéalistes, des ambitieux, des aventuriers, persuadée, les uns comme les autres, qu’ils formaient une troupe de choc sans dans aucune autre armée. Le monde découvrit avec stupeur les parachutistes allemands quand ils s’ emparèrent du pont de Vordhngborg, au Danemark, ou de l’aéroport de Stavanger, en Norvège, le 9 avril 1940. A peine un mois plus tard, ils sautaient, le 10 mai 1940, sur le. fort d’Eben et les ponts du canal Albert en Belgique, comme sur les défenses de la forteresse Hollande. Engagés dans des conditions terribles à Narvik, au-delà du Cercle polaire, les paras du reich devaient ensuite sauter sur le canal de Corinthe; le 25 avril 1941, en prélude à la bataille de Crète, où ils allaient trouver, en une semaine, la gloire et la mort Toutes tes troupes aéroportées du monde se sont inspirées, ce leur tragique expérience et ont copié leur idéal de “combat sers retour”.

Détails sur le produit

  • Éditeur : Pocket (9 septembre 1998)
  • ISBN-10 : 2266012487
  • ISBN-13 : 978-2266012485
  • Poids de l’article : 47 g

L’auteur

Né(e) à : Paris , le 09/02/1927
Mort(e) à : Saint-Malo , le 29/03/2006
Biographie :

Jean Mabire est un écrivain, journaliste et critique littéraire français.

Ayant signé de son nom la plupart de ses textes, il a aussi écrit sous les pseudonymes de Didier Brument, Éric Dubecquet, Henri Landemer et Jean de La Huberdière.

Il fait ses études secondaires au Collège Stanislas, où il obtient un baccalauréat philosophie-lettres, puis entre à l’École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, tout en militant à l’Union nationale des étudiants de France.

Il débute sa carrière en 1949, en créant la revue régionaliste “Viking”, qu’il dirige jusqu’en 1955 (les revues “Heimdal” et “Haro” lui feront suite). Il effectue ensuite son service militaire, d’octobre 1950 à octobre 1951, à l’École des troupes aéroportées de Pau, où il obtient son brevet de parachutiste. Aspirant au 1er Bataillon parachutiste de choc à Montauban, il en sort sous-lieutenant de réserve.

Rappelé en octobre 1958 pour un an en Algérie, il est affecté au 12e Bataillon de chasseurs alpins, à la tête d’un commando de chasse composé aux deux tiers de musulmans. Le soldat est démobilisé en octobre 1959 comme capitaine de réserve. Pour ses états de service, il est décoré de la Croix de la Valeur militaire, de la Croix du combattant et de la Médaille commémorative des opérations de maintien de l’ordre en Algérie.

C’est en tant que journaliste que Jean Mabire contribue à de nombreuses publications. En 1956, il débute comme reporter à “La Presse de la Manche”, puis collabore à Historia, mais aussi, entre autres revues, à Défense de l’Occident , à L’Esprit public , à Europe-Action puis, par la suite, à Éléments.

 

Informations complémentaires

Poids 0,200 kg

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