Séverine, Belle et Sébastien : Le Collier bleu

Séverine, Belle et Sébastien : Le Collier bleu

2,00

Cécile Aubry

 

 

 

 

 

 

 

1 en stock

Description

Résumé :

Tout se passe bien pour Séverine jusqu’au voyage de sa mère, Sandra Albin, à Nice. C’est bientôt Noël et Sandra est partie chez une antiquaire russe pour faire les achats de Noël. Elle remarque alors dans la vitrine un magnifique collier bleu saphir. Un homme de passage lui achète ce collier car il trouve à Sandra une ressemblance étonnante avec sa fille qui lui manque beaucoup. De retour chez elle, Sandra est interrogée par Jacques qui pense que Sandra est amoureuse. Séverine craint une nouvelle fugue et Sébastien la questionne. Après des aventures entre la Côte d’Azur et le village des montagnes, Jacques Albin apprend que c’est son patron M. Norden qui a offert le collier bleu à sa femme et la famille se réconcilie. Mais Sébastien, complètement amoureux de sa petite amie, apprend que Séverine part avec ses parents et quitte Sébastien, qui va jusqu’à se jeter dans un précipice, mais est sauvé par Jean. Il oublie Séverine, malgré le fait qu’une tendre complicité et même un (premier) grand amour se soit noué entre les deux jeunes, et il court jouer avec Belle.

Détails sur le produit :

  • 1977

 

Biographie de l’auteur :

  • Belle et Sébastien sont deux héros imaginés par Cécile Aubry pour le feuilleton télévisé qu’elle dirige en 1965 : Belle et Sébastien, avec, dans le rôle de Sébastien, le propre fils de Cécile Aubry.Le feuilleton ayant remporté un vif succès, Cécile Aubry décide d’adapter le feuilleton en romans. Puis elle crée une suite : deux autres feuilletons télévisés (Sébastien parmi les hommes, 1968) et Sébastien et la Mary-Morgane, 1970) et continue à écrire des romans adaptés de ses feuilletons.

    Cécile Aubry écrit ainsi onze romans entre 1966 et 1977.

  • Cécile Aubry est issue d’une famille de la grande bourgeoisie. Son père Lucien Bénard, polytechnicien, est spécialiste en liquidation de sociétés, et sa mère, Marguerite Candelier2, est égyptologue3. Elle débute comme danseuse, et suit une formation de comédienne au cours Simon. Elle obtient son premier grand succès dès ses débuts, avec le film Manon, de Henri-Georges Clouzot tourné en 19494. Elle signe ensuite un contrat avec la 20th Century Fox. Ses débuts d’actrice internationale semblent très prometteurs (Cécile Aubry fait la couverture de l’édition du du grand magazine Life). Dans La Rose noire, on la voit aux côtés des stars Tyrone Power et Orson Welles et, dans Barbe-Bleue, elle est la dernière femme de cet inquiétant personnage, interprété par Pierre Brasseur dans la version française et par Hans Albers dans la version allemande4.Cependant, elle ne joue que dans un petit nombre de films car en 1956 elle épouse, à la mosquée de Paris, Si Brahim el Glaoui, fils de Thami El Glaoui, pacha de Marrakech, rencontré sur le tournage de La Rose noire, et elle abandonne son métier d’actrice. La même année, elle donne naissance à un fils — le futur acteur et réalisateur Mehdi El Glaoui — et se fixe en France en achetant un grand moulin à 45 km au sud de Paris, à Saint-Cyr-sous-Dourdan, au bord de la Rémarde, dénommé Le Moulin bleu, pour y élever son fils loin de l’agitation parisienne. Mehdi n’aura presque pas connu son père, qui meurt en 1971.

    Elle devient écrivain pour la jeunesse, adapte elle-même ses romans pour la télévision et, à l’inverse, écrit des scripts de séries dont elle tire ensuite des suites romanesques (adaptation en récit littéraire ou novélisation). Ceci donne le feuilleton Poly puis, la série Belle et Sébastien, un autre feuilleton télévisé autour d’un animal et d’un enfant, avec 39 épisodes diffusés en trois parties de 1965 à 1970 sur la première chaîne de l’ORTF et dans lequel le rôle principal est joué par son fils Mehdi4,3. Elle y interprète également le rôle de la narratrice. Belle et Sébastien est un beau succès de la télévision, entre 1965 et 19684, et la série provoque même un engouement ponctuel en France pour les chiens de montagne des Pyrénées (la taille de ces chiens limitant cependant cet engouement en milieu urbain)5. En 1973, elle écrit le scénario d’une autre série pour la télévision, Le Jeune Fabre qui fait connaître l’actrice Véronique Jannot, et qui est aussi sa dernière collaboration à la télévision avec son fils, interprète du rôle-titre4. La série de romans pour la jeunesse Poly paraît en France de 1964 à 1988 dans la Bibliothèque rose6.

    Toujours retirée au Moulin bleu à Saint-Cyr-sous-Dourdan, elle meurt au centre hospitalier de Dourdan des suites d’un cancer du poumon le à l’âge de 81 ans7.

    Après des obsèques en l’église de Dourdan, elle est inhumée au cimetière de Montrouge situé à Paris 14e, aux côtés de sa mère.

Informations complémentaires

Poids 0,250 kg

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