Un premier roman écrit à travers les barreaux, où « Fafa »- Benotman raconte sa jeunesse jusqu’à l’échafaud virtuel promis par son père brutal, analphabète et totalement indifférent à la singularité de ce rejeton mal-né, mal éduqué, incompris.Si ce livre nous interpelle d’autant plus, c’est parce qu’il utilise la distance impartiale et pudique de la vraie-fausse narration à la troisième personne.Cet apatride, sans papiers