Chroniques du temps passé…

Chroniques du temps passé…

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Jeanne Bourin

 

 

 

 

 

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UGS : LIT-2542 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Résumé :

Qu’il s’agisse de roman ou d’histoire – mais les deux se mêlent ici intimement-, les héroïnes de Jeanne Bourin sont avant tout femmes de leur temps. Comme ces Pérégrines qui répondirent, à l’aube de notre millénaire, à l’appel du pape Urbain II pour libérer le tombeau du Christ à Jérusalem, et que rien ne fit reculer, ni les marches épuisantes, ni la faim, ni la maladie, ni la violence des combats. Comme Agnès Sorel, la belle maîtresse de Charles VII, qui incarnera au Xve siècle la dualité de son époque, encore médiévale par sa foi et sa gaieté, déjà moderne par sa manière d’éloigner Dieu de la vie quotidienne. Ou comme Cassandre Salviati, la fille d’un riche banquier, florentin, qui fit naître la passion de Pierre de Ronsard, Poète de la renaissance. Leurs espoirs, leurs défaites, leurs victoires se mêlent au bruit et à la fureur du monde. A leur suite revivent ici de pans entiers de notre histoire. Ces Chroniques du temps passé, du Moyen Age à la Renaissance constituent, après Chroniques médiévales, le second volume de l’œuvre de Jeanne Bourin chez Omnibus.

Détails sur le produit :

  • Éditeur ‏ : ‎ Presses de la Cité (2 octobre 1997)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 1093 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2258048060
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2258048065
  • Poids de l’article ‏ : ‎ 599 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 13.1 x 3.8 x 19.7 cm

 

Biographie de l’auteur :

  • Jeanne Bourin, née Jeanne Mondot le à Paris et morte le au Mesnil-le-Roi (Yvelines), est une écrivaine française connue pour ses romans historiques.
  • Jeanne Bourin est la fille de Marcel Mondot, inspecteur de l’enregistrement, et d’Eugénie Laudereau. Elle étudie au lycée Victor-Duruy de Paris. Elle épouse en 1942 le critique littéraire et écrivain André Bourin. Catholique revenue à la foi de son enfance vers 40 ans, elle est admirative pour la société médiévale qu’elle a bien étudiée et qu’elle restitue dans le cadre de ses romans. La Chambre des dames connaît un grand succès et fera l’objet en 1983 d’une adaptation sous forme d’un feuilleton en dix épisodes réalisé par Yannick Andreï.

    Sa vision positive du Moyen Âge, assez proche toutefois de celle de Régine Pernoud, lui vaudra des critiques de la part d’universitaires comme le médiéviste Robert Fossier. Elle redécouvre, à la suite de Régine Pernoud, la très grande place accordée aux femmes à cette époque, et surtout du XIe au XIIIe siècle. En allant ainsi à l’encontre de nombreuses idées préconçues sur le Moyen Âge, elle remettait à l’honneur ces siècles qu’elle qualifiait dans son récit autobiographique Le Sourire de l’Ange de « courtois, lumineux et créateurs »1. Elle fut membre du comité d’honneur de la Maison internationale des poètes et des écrivains de Saint-Malo

    Elle est enterrée au cimetière du Mesnil-le-Roi2 (Yvelines) où elle était domiciliée.

Informations complémentaires

Poids 0,700 kg

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