La mare au diable

La mare au diable

3,00

George Sand

1 en stock

UGS : G23059108 Catégories : , Étiquettes : , ,

Description

Synopsis

On l’appelait la Mare au diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d’y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le cœur triste. Germain va chercher une épouse pour s’occuper de ses enfants orphelins de leur mère. À quoi bon se marier, pense-t-il, quand l’amour n’y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu’il aime tant. Dédié à Chopin, ce bref roman champêtre a un charme inégalé. George Sand a vu le beau dans le simple. Elle chante, quelquefois en patois, les joies de l’amour, de l’enfance et du travail de la terre. Beaucoup d’amour et un peu d’idéalisme sont ses secrets.

 

Détail

  • Editions France loisirs
  • Année 1992
  • Langue Français
  • Format Moyen

 

Auteur

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 01/07/1804
Mort(e) à : Nohant , le 08/06/1876
Biographie :

George Sand est une femme de lettres française.

Faisant scandale par sa vie amoureuse agitée et par ses tenues vestimentaires masculines, elle adopte un pseudonyme masculin dès 1829.

George Sand est en réalité le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, plus tard, la baronne Dudevant lorsqu’elle se marie en 1822 avec le baron Casimir Dudevant, dont elle aura deux enfants.

Ses détracteurs les plus acharnés : Charles Baudelaire, Jules Barbey d’Aurevilly, Henri Guillemin n’ont retenu d’elle que cela, alors que George Sand était au centre de la vie intellectuelle de son époque, accueillant à Nohant-Vic ou à Palaiseau : Liszt, Marie d’Agoult, Balzac, Chopin, Flaubert , Delacroix, et Victor Hugo, conseillant les uns, encourageant les autres.

Outre son immense production littéraire, elle s’est illustrée par un engagement politique actif à partir de 1848, inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : « La Cause du peuple », « Le Bulletin de la République », « l’Éclaireur », plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l’œuvre et dont elle a tenté d’obtenir la grâce.

“La Mare au Diable”, “Consuelo” et “Indiana”, font partie de ses œuvres les plus célèbres.

Auteure de romans, de nouvelles, de contes, de pièces de théâtre, d’une autobiographie, de critiques littéraires et de textes politiques, elle n’arrête pas d’écrire jusqu’à sa mort à l’âge de 71 ans.
Victor Hugo déclara à sa mort : « Je pleure une morte, je salue une immortelle ! ».

 

Informations complémentaires

Poids 0,400 kg

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *