Quand le soleil était chaud

Quand le soleil était chaud

2,50

Josette Alia

1 en stock

UGS : BC-00-LIT-ROM-861 Catégorie : Étiquettes : , ,

Description

Résumé:

Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.

détail:

Éditeur : France loisirs

L’auteur:

Nationalité : France
Né(e) à : La Ferté Bernard , le 25/11/1929
Mort(e) à : Perpignan , le 1/05/2014
Biographie :

Josette Alia est rédactrice en chef du Nouvel Observateur. Quand le soleil était chaud est son premier roman Josette Alia, de son vrai nom Josette David, naît le 25 novembre 1929 à La Ferté-Bernard dans la Sarthe. Germaniste, elle suit une formation de relations internationales qui l’amène à travailler aux affaires sarroises du ministère des Affaires étrangères. Mais après son mariage avec Raouf Benbrahem (juillet 1952), un pédiatre issu de la haute bourgeoisie tunisoise, la nationalité de son mari l’oblige à quitter son poste et à le suivre dans son pays.
A partir de 1965, elle collabore épisodiquement au Nouvel Observateur à travers une interview de Haouri Boumediene, quelques articles sur l’affaire Ben Barka ou un commentaire du débat Mendès-Debré (décembre 1965). Mais en décembre 1966, un papier sur la répression policière à l’Université lui vaut d’être assignée à résidence et menacée de deux ans de travaux forcés pour atteinte à la sécurité de l’Etat. L’intercession de Jean Daniel auprès de Bourguiba lui permet alors de quitter le pays.
Abandonnant biens et mari en Tunisie, elle se retrouve à Paris dépourvue de tout moyens financiers d’autant plus qu’Hubert Beuve-Méry et Jacques Fauvet refusent de l’aider. Jean Daniel l’accueille alors volontiers à la rédaction du Nouvel Observateur où elle prend définitivement le pseudonyme de Alia.
Elle est d’abord envoyée couvrir la campagne législative de Mendès France à Grenoble (janvier-mars 1967) dans le cadre de l’édition Rhône-Alpes que le Nouvel Observateur lance à cette occasion. De retour à Paris, elle repart vite pour l’Egypte couvrir la guerre des Six Jours (mai 1967). Elle s’impose alors comme le “grand reporter” du journal sur les questions du Proche-Orient, collaborant notamment avec le correspondant du Nouvel Observateur en Israël, Victor Cygielman. Entre deux reportages, elle continue toutefois à traiter de la vie politique comme l’illustre les portraits qu’elle trace de Chaban-Delmas (24 janvier 1968), de Jacques Duhamel (14 février 1968), d’Alain Savary (21 juillet 1969) ou de Michel Rocard (3 novembre 1969).

Informations complémentaires

Poids 0,450 kg

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *